Une filière, des solutions alternatives, au service de la nature en ville
Les associations CIBI et Le Vivant et la Ville ont fusionné en octobre 2018.
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La vocation du Vivant et la Ville est de définir et proposer des produits et services innovants au service des écosystèmes en milieu urbain, en veillant à respecter l’équilibre des fonctions naturelles et culturelles des villes.
Rassembler les savoir faire ayant trait à toute la chaîne de l’aménagement urbain pour anticiper les besoins.
Développer de nouvelles technologies et compétences pour innover et démontrer la valeur ajoutée des solutions de demain.
Promouvoir des produits et des services mettant les fonctions du Vivant au service de la Ville, pour valoriser la création d’activités nouvelles.
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et également
. Découvrir l’association CIBI-Le Vivant et la Ville
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. Les membres ...
Le Vivant et la Ville est une association loi 1901 à but non lucratif, labellisée Grappe d’entreprises en janvier 2011 par la DATAR, regroupant des entreprises spécialistes dans :
Dans les agglomérations françaises, l’appétence pour les circuits courts est grandissante, et concerne entre autre les domaines de l’agriculture et de l’alimentation.
Par ailleurs, il existe de nombreux terrains délaissés en zone urbaine et périurbaine.
Le Vivant et la Ville construit une offre de gestion intégrée de production agricole alimentaire sur site urbain contraint.
La demande concernant les enveloppes végétalisées du bâti existe. Les aménageurs souhaitent trouver une offre raisonnée et durable sur les plans économiques (maintenance) et environnementaux. Le Vivant et la Ville propose un outil sous forme de Guide des bonnes pratiques
Lire la suiteL’extension des surfaces artificialisées (estimée à 75 000 ha/an sur la période 2006-2008 - enquête Teruti-Lucas), généralement irréversible, rime généralement avec l’imperméabilisation de la couverture des sols : construction de routes, parkings, etc. Elle amplifie les phénomènes de pollution des eaux et de ruissellement, augmentant de ce fait le niveau des crues, les risques d’inondation et l’intensité érosive. De plus, l’extension urbaine diffuse et la localisation périphérique des zones d’activités ont un effet dommageable indirect sur la biodiversité.
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